«Tu passes d’une ferme isolée à l’autre, pour peu que “ferme” soit le nom qu’on donne à ce genre d’endroit. Tu n’en es pas sûr, tu soupçonnes qu’il n’y a guère plus à y récolter que de la poussière et des bouches à nourrir.»
David Homel, Tout ce que j’ai perdu, Montréal, Leméac, coll. «L’inconvénient», 2023, 99 p., p. 31. Traduction de Jean-Marie Jot.
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