Le zeugme du dimanche matin et de David Homel

David Homel, Tout ce que j’ai perdu, 2023, couverture

«Tu passes d’une ferme isolée à l’autre, pour peu que “ferme” soit le nom qu’on donne à ce genre d’endroit. Tu n’en es pas sûr, tu soupçonnes qu’il n’y a guère plus à y récolter que de la poussière et des bouches à nourrir.»

David Homel, Tout ce que j’ai perdu, traduction de Jean-Marie Jot, Montréal, Leméac, coll. «L’inconvénient», 2023, 99 p., p. 31.

CC BY-NC 4.0 Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.

Laissez un commentaire svp