L’oreille tendue de… Gustave Flaubert

Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1966, couverture

«À force de tendre l’oreille, on crut distinguer des craquements de bois.»

Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, chronologie et préface par Jacques Suffel, Paris, Garnier-Flammarion, coll. «GF», 103, 1966, 378 p., p. 218. Édition originale : 1881 (posthume).

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2 réponses sur “L’oreille tendue de… Gustave Flaubert”

  1. L’oreille tendue d’Antoine Compagnon:

    « Aujourd’hui, quand je prends le métro sur la ligne 13 pour me rendre vers la rive gauche et que j’entends les jeunes gens et les jeunes filles qui descendent de Saint-Denis, j’ai la même impression d’un mystère dont je suis exclu. Je tendais l’oreille, me demandant s’il me faudrait m’initier à leur idiome comme j’avais appris l’anglais en arrivant à Washington, quelques années plus tôt. »

    Antoine Compagnon, La classe de rhéto, Paris, Gallimard, coll. « Folio », 2012, p. 20-21.

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