Question existentielle : où poser la cerise ? Là : sur la gâteau. Ici : sur le sundae.
Exemples : «Bruyants, ils buvaient comme des trous et, cerise sur le gâteau : ils avaient applaudi au moment où l’avion s’était posé dans la grande ville», écrit Éric Boury, traduisant Arnaldur Indridason (p. 89-90); «Le design, c’est la cerise sur le sundae», sous-titre la Presse en 2006.
Tous les (dé)goûts alimentaires sont dans la nature.
[Complément du 21 février 2016]
D’où ce titre de presse, du 19 février 2016, dans le Journal de Montréal, sous la signature de Michel Girard :
[Complément du 26 février 2016]
Rebelote.
Le plus gros client de la C Series au bord de la faillite – c'est la C Series sur le sundae: https://t.co/zt96fDDE7F
— Daniel L'Heureux (@lheureuxdaniel) February 25, 2016
[Complément du 10 juin 2016]
Dans le même ordre d’idées, ceci, dans Fatigues (2014), de Pierre Peuchmaurd : «La cerise sur la charrue, le gâteau avant les bœufs !» (p. 154)
Références
Indridason, Arnaldur, Hypothermie, Paris, Métailié, coll. «Bibliothèque nordique», 2010 (2007), 294 p. Traduction d’Éric Boury.
Pierre Peuchmaurd, Fatigues. Aphorismes complets, Montréal, L’Oie de Cravan, 2014, 221 p. Avec quatre dessins de Jean Terrossian.
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