Il y a quelques semaines, l’Oreille tendue parlait, à la radio de Radio-Canada, de la langue de l’austérité au Québec (on peut (ré)entendre l’entretien ici). Grâce à Ianik Marcil, qui scènait en studio, ses propos sont devenus un texte, publié dans un ouvrage collectif, 11 brefs essais contre l’austérité. Pour stopper le saccage planifié de l’État (Montréal, Somme toute, 2015, 202 p., 978-2-924283-86-8). L’ouvrage sera en librairie le 31 mars.
Table des matières
La privatisation tranquille
Ianik Marcil
Dire, ou pas, l’austérité
Benoît Melançon
Pour en finir avec la dette publique
Eve-Lyne Couturier
L’éducation, ce malentendu
Joëlle Tremblay
Tuer le désir de beauté
Ianik Marcil
Mortelle austérité
Alain Vadeboncœur
77 500 ans d’austérité
Widia Larivière et Melissa Mollen Dupuis
Une fragilisation des écosystèmes, des liens sociaux et de la solidarité régionale
Laure Waridel
Le sexisme latent de l’austérité
Alexa Conradi
Des mères nécessiteuses aux garderies commerciales : requiem d’un modèle progressiste
Annie Desrochers
Paroles, paroles…
Hans Marotte
À quoi mal l’austérité ?
Christian Nadeau
Biographies
[Complément du 22 avril 2015]
Sur le blogue Littéraires après tout, Alex Gagnon, sous le titre «Perlocutions politiques. La politique comme acte de langage», reprend et prolonge le texte de l’Oreille.
[Complément du 8 mars 2016]
Le texte de l’Oreille tendue est désormais disponible ici. Merci à Ianik Marcil d’avoir autorisé cette mise en ligne.
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