Une exposition parisienne célèbre ces jours-ci l’œuvre de Jean Echenoz.
L’Oreille tendue, qui, ses lecteurs le savent, est une fan de l’écrivain, n’a pas vu cette exposition, mais son réseau international de taupes ouvre l’œil.
Voilà pourquoi elle a pu étudier attentivement, à distance, cet exemplier, «Le zeugme et autres appariements incongrus».
Elle est heureuse de pouvoir dire qu’elle avait repéré, toute seule comme une grande, l’«hôtel chinois» et l’«allure confuse». Elle n’en est pas peu fière.
P.-S.—Merci, et merci, à Martine Sonnet.
P.-P.-S.—Il y a un autre ami de l’Oreille qui parlait Echenoz pas plus tard qu’hier.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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