«Les mots qu’il utilise nous sont si familiers qu’ils n’ont pas leur place dans le dictionnaire où sont imprimés ceux que l’on ne connaît pas et qui ne servent à rien, sinon à enténébrer les livres de ces auteurs hypocrites qui se font de leur insuccès une gloire (et un ulcère).»
Éric Chevillard, Défense de Prosper Brouillon, Paris, Éditions Noir sur blanc, coll. «Notabilia», 2017, 101 p., p. 17. Illustrations de Jean-François Martin.
P.-S.—L’Oreille tendue a présenté ce texte le 31 janvier 2018.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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