«En attendant l’heure du déjeuner, tendant l’oreille pour saisir le bruit lointain des tronçonneuses et incapable de déterminer si c’était bien ce qu’il entendait, ou bien si c’était le vent dans les arbres, il se traîna sur le sol et s’empara des revues graveleuses. Le texte était en anglais, et fort pauvre des points de vue littéraire et même fantasmatique.»
Jean-Patrick Manchette, le Petit Bleu de la côte ouest, Paris, Gallimard, coll. «Série noire», 1714, 1976, 181 p., p. 103.
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