«Sa voix est si basse et déprimée qu’il doit tendre l’oreille exagérément pour entendre ce qu’elle dit.»
Monique Proulx, les Aurores montréales. Nouvelles, Montréal, Boréal, coll. «Boréal compact», 85, 2016, 238 p., p. 121. Édition originale : 1996.
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