«La fraude est partout : dans la permission qu’il s’accorde d’accompagner Monsignore dans le lupanar ou d’entrer dans sa chambre et ses plus secrètes pensées, comme dans le vol de l’argent, de la femme, de l’amour, de la parole, de la mémoire.»
Gilles Marcotte, le Roman à l’imparfait. Essais sur le roman québécois d’aujourd’hui, Montréal, La Presse, coll. «Échanges», 1976, 194 p., p. 142.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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