«Des États-Unis il avait rapporté en même temps que son diplôme un esprit d’indépendance qui, n’eussent été son rang et les bons services qu’il rendait, aurait pu lui causer des ennuis au début de sa carrière» (p. 28).
Monseigneur Antoniotti «relevait de Pie XII qui ne pouvait pas concevoir de politique sans coups bas, bien fourrés, bénissant les crimes et les petits oiseaux» (p. 155).
Jacques Ferron, le Saint-Élias. Roman, Montréal, Éditions du Jour, coll. «Les romanciers du jour», R-85, 1972, 186 p.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.
