Le zeugme du dimanche matin et d’André Major

André Major, l’Hiver au cœur, éd. de 1992, couverture

«Il passa l’après-midi à lire, adossé à la tête du lit, des pages de la correspondance de Flaubert, malgré l’envie très forte qu’il avait de se rendre chez Huguette pour prendre une bouchée et surtout de ses nouvelles.»

André Major, l’Hiver au cœur, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1992, 93 p., p. 41. Présentation de Jean-François Chassay. Édition originale : 1987.

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Une réponse sur “Le zeugme du dimanche matin et d’André Major”

  1. « Il redescendait le boulevard Saint-Laurent d’un pas pressé, le vent dans le dos, comme s’il était attendu quelque part, mais il n’avait plus au monde qu’un seul endroit où se réfugier: sa chambre encombrée de manuels, de travaux à corriger et de souvenirs disparates […]. »

    André Major, Histoires de déserteurs, Montréal, Boréal, 1991, p. 143.

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