«Un mariage, un divorce, quelques maîtresses et même maman ne m’avaient rien appris des femmes, sinon qu’elles font l’amour, du yoga, des enfants, des mystères et autres salamalecs.»
Hervé Prudon, Champs-Élysées, Paris, Mazarine, 1984, 214 p., p. 14.
P.-S.—L’Oreille tendue a présenté ce texte le 17 octobre 2017.
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Une pensée sur “Le zeugme du dimanche matin et d’Hervé Prudon”