«La chanson Losing My Religion y jouait sans arrêt et me racontait ma peine, les quelques habitués marquaient les heures, vidant tour à tout leur bouteille et leur vessie, pendant que je jouais avec cet ami que j’aimais tellement, qui me battait à tout coup et que je n’ai plus revu depuis» (p. 117).
«Je suis allé me coucher et j’ai dormi par saccades, d’un sommeil plein de rêves et de sueur, avant de me réveiller seul au milieu de la nuit» (p. 154-155).
Simon Brousseau, les Fins heureuses. Nouvelles, Montréal, Le Cheval d’août, 2018, 196 p.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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