Les zeugmes du dimanche matin et de Félicité de Genlis

Mémoires de madame de Genlis, éd. de 2004, couverture

«Je m’amusai beaucoup à Alix : l’abbesse et toutes les dames me comblaient de bontés et de bonbons, ce qui me donnait une grande vocation pour l’état de chanoinesse» (p. 44).

«Madame d’Estourmelle m’embrassa, loua beaucoup ma douceur, ma complaisance et mes beaux cheveux» (p. 121).

«Dans la première année de mon entrée à Bellechasse, je fis venir de Bourgogne ma nièce, Henriette de Sercey, qui était orpheline et créole […]» (p. 262).

«Les conquêtes et les victoires de l’Empereur ne m’avaient point éblouie, parce qu’elles avaient coûté des torrents de sang; mais toutes les circonstances qui accompagnèrent son retour me séduisirent, et j’admirai, dans cette occasion, son caractère et son triomphe» (p. 357).

Mémoires de madame de Genlis, Paris, Mercure de France, coll. «Le temps retrouvé», 2004, 390 p. Édition présentée et annotée par Didier Masseau. Édition originale : 1825.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

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