«J’ai poussé la porte de l’Ermitage. Chloé m’a rejointe avec nos sacs. Nous avons fait quelques pas dans le chalet qui sentait l’enfance et le renfermé. Il y avait des mulots noirs, morts dans les trappes.»
Mikella Nicol, les Filles bleues de l’été. Roman, Montréal, Le Cheval d’août, coll. «Coursière», 2017, 119 p., p. 20. Édition originale : 2014.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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