«Elle a perdu son identité de catholique polonaise et une part de l’héritage, mais elle a retrouvé un père et se débat comme elle peut avec sa judéité retrouvée.»
Régine Robin, «Le dibbouk inconnu», dans l’Immense Fatigue des pierres. Biofictions, Montréal, XYZ éditeur, coll. «Étoiles variables», 1996, 189 p., p. 45-62, p. 54.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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