«À vingt et un ans, Olivia a des cheveux roux incroyables et une passion pour la lecture» (p. 33).
«La classe revient aux anges, les professeures épuisées par le chaperonnage impossible de douze jeunes filles enivrées d’hormones et d’Italie» (p. 72).
«Ici, tout le monde a un travail, de beaux vêtements, des cappuccinos à volonté et des vieux dans des hôpitaux qui s’effondrent» (p. 88).
«Leur complicité se développe à l’écart de Betty, qui est moins drôle avec tous ses drames et ses médicaments» (p. 103).
«Ann se laisse porter par les événements, les sourires extatiques et les nuits trop courtes» (p. 134).
Julia Deck, Ann d’Angleterre. Roman, Paris, Seuil, 2024, 250 p.
P.-S.—L’Oreille tendue a présenté ce texte le 30 décembre 2024.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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