«Je lui parlai distraitement du musée Grévin, des cires, de mon attachement irraisonné à la figure de la princesse de Lamballe et à quelques autres départs d’itinéraires possibles. Il tendit l’oreille, toujours prêt à capter une idée récupérable.»
Jean-François Vilar, les Exagérés. Roman, Paris, Seuil, coll. «Fiction & cie», 1989, 351 p., p. 69.
P.-S.—En sa jeunesse, l’Oreille tendue a rendu compte de ce roman pour le magazine Spirale; c’est ici.
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