«le calme de grands jardins qui tiennent les routes et les indésirables à distance» (p. 20).
Les aiguillages «existent toujours, sous la végétation et l’indifférence» (p. 46).
«Elle a l’agréable sensation que l’air purifie son intérieur, qu’il aspire les poussières, les odeurs, les regrets, et qu’il les emporte dehors avec lui» (p. 138).
Tristan Saule [pseudonyme de Grégoire Courtois], Mathilde ne dit rien. Roman. Chroniques de la place carrée. I, Montréal, Le Quartanier, coll. «Parallèle», 02, 2021, 280 p.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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