«Et le prisonnier tâtait le mur, s’arrêtait parce qu’il avait heurté un caillou, tendait l’oreille, tellement blême, tellement saugrenu, avec ses bras interminables qui battaient le vide, que partout ailleurs on l’eût pris pour un ivrogne.»
Georges Simenon, la Tête d’un homme, dans les Essentiels de Maigret, Paris, Omnibus, coll. «Tout Simenon», 2011, p. 99-200, p. 104. Présentation de Benoît Denis. Édition originale : 1931.
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