«Chacune part de son côté, Catherine et Marianne vers leurs voitures, Sabrina vers les tours de Sainte-Thérèse, la place carrée et un paquet de problèmes» (p. 42).
«De l’autre côté des voies, un adolescent, plié sous le poids de l’ennui et d’un énorme sac de sport, attend sans bouger devant les portières ouvertes du wagon» (p. 45).
«Puis, l’année dernière, il y a eu cette balle de .22 Long Rifle qui lui a a traversé le genou et qui a détruit ses ligaments croisés, en même temps que ses rêves de devenir pro» (p. 138).
«Les passants ont le nez sur leur portable ou dans leurs pensées» (p. 289).
Tristan Saule [pseudonyme de Grégoire Courtois], Et puis on aura vu la mer. Roman. Chroniques de la place carrée. IV, Montréal, Le Quartanier, coll. «Parallèle», 05, 2024, 341 p.
P.-S.—L’Oreille tendue apprécie fort le travail de cet auteur. Voir ceci, par exemple.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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