«C’était une espèce de nain, bossu, crochu, bègue, borgne, jaloux, paillard, amoureux et peut-être aimé de Suzon.»
Denis Diderot, Jacques le fataliste, édition établie par Pierre Chartier, Paris, Le livre de poche, 2000, 414 p., p. 280.
Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.
Une réflexion sur « Le zeugme du dimanche matin et de Diderot »